(article rédigé par Lydia de Caracolade)
Si vous n’aimez pas prendre le bus, que vous avez un rendez-vous, et que vous n’aimez pas la foule, vous pouvez choisir de prendre un taxi !
Les taxis colombiens
En Colombie, les taxis sont jaunes, et il y en a partout. À Bogotá, après quelques recherches, il y aurait un million de véhicules particuliers, 16 000 bus et environ 50 000 taxis ! Wow !
Quelques conseils
Si vous avez peur de tomber sur un psychopathe, ou dans un redoutable taxi pirate, il est conseillé d’anticiper en téléphonant à la compagnie des taxis pour qu’ils viennent. Il y a plusieurs numéros possibles, dont 3 111 111.
Il y a plusieurs façons pour reconnaître un faux taxi :
– la plaque d’immatriculation : elle doit coïncider avec le numéro inscrit sur la carrosserie.
– Dans le taxi, il y a une grande fiche avec ses informations : sa photo, son nom, etc. Regardez bien si la photo est ressemblante.
– Généralement, le chauffeur écoute la radio et a une autre radio spéciale où le standard de la compagnie des taxis leur dit où aller chercher leur prochain client (qui aura appelé le fameux numéro).
Généralement, il n’y a aucun souci de prendre un taxi seul, mais si vous voyez que le taxi ne se dirige pas vers la bonne destination, sautez !
Surprises !
Le prix des taxis est bon marché comparé à la France, il se calcule en fonction du nombre d’unités qui défilent le long du trajet. À la fin, le chauffeur appuie sur un bouton et les unités se convertissent en pesos. Magique !
Autre surprise, la plupart du temps, il n’y a pas de ceinture à l’arrière, car en Colombie ce n’est pas (encore) obligatoire. S’il y en a une et que vous voulez l’utiliser, ils vont vous regarder très bizarrement ! Surtout qu’il n’y a jamais le machin pour attacher l’embout ! Alors, accrochez-vous !
Et si vous n’aimez pas les taxis, vous pouvez choisir le réseau de bus Transmilenio, monter dans les minibus, ou encore opter pour le bicitaxi, une autre version du tuk tuk à la colombienne !